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Antonio Guterres s’enquiert du dossier de Grand barrage éthiopien de la Renaissance


Antonio Guterres s’enquiert du dossier de Grand barrage éthiopien de la Renaissance auprès du Président Félix Tshisekedi


Antonio Guterres s’enquiert du dossier de Grand barrage éthiopien de la Renaissance auprès du Président Félix Tshisekedi

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a échangé, mercredi, au téléphone avec le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies (ONU), Antonio Guterres, sur le dossier du Grand barrage éthiopien de la Renaissance et sur le renforcement des capacités de la Mission de l’ONU sur la stabilisation en RDC (MONUSCO), indique une source de la Présidence de la République.

L’entretien entre le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi et M. Antonio Guterres intervient au lendemain de la conférence ministérielle de Kinshasa sur « la poursuite des négociations tripartites entre l’Egypte, l’Ethiopie et le Soudan sur le Grand barrage de la Renaissance, tenue du 4 au 6 avril 2021 , dans la capitale congolaise, à l’initiative du Chef de l’Etat congolais et Président en exercice de l’ UA, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

A cette occasion, Félix Tshisekedi a pu échanger, tour à tour, ,en présentiel, avec les délégués de la République arabe d’Egypte, la République fédérale et démocratique d’Ethiopie et de la République du Soudan et s’imprégner de la position de chaque partie sur ce dossier.

La rencontre de Kinshasa a donc permis au Chef de l’Etat Félix Tshisekedi ainsi qu’aux participants, de déblayer le terrain et de cerner et comprendre les préoccupations et appréhensions des uns et des autres.

Il sied de rappeler qu’à propos de la MONUSCO, la RDC s’inquiète de la poursuite de la violence dans l’Est du pays malgré la présence de cette mission.

Mercredi, le président de l’Assemblée nationale a exhorté la communauté internationale à prendre conscience de la situation dramatique dans la partie Est du pays, avant de stigmatiser son attitude moins agressive au regard des massacres et tueries perpétrés dans cette contrée.

« Nous demandons à la communauté internationale de pouvoir retirer les groupes armés qui sévissent dans la partie Est de la République démocratique du Congo. Car, il y a des groupes armés terroristes qui sont dans l’Est du pays depuis 30 ans. Et ces derniers tuent le peuple congolais tout en exploitant nos richesses pour acheter des armes », a déclaré le speaker de la chambre basse du Parlement


ACP/GGK

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