Les acteurs tant politiques que de la société civile montent au créneau pour l’attestation et condamnation de militants de la lucha à Béni. Selon ces acteurs, l’État de droit tant venter risque de rester une utopie du fait des actes qu’il dégénérent. Si pour Claudel André lubaya ce cadre de MK et député national, l’État de droit est un slogan si ces jeunes ne sont pas libéré, Jean-Claude Katende de la société civile évoque un état dérisoire et injuste avec cette condamnation. Même cas pour martin Fayulu ce candidat malheureux aux élections présidentielles de 2018 qui explique : “les citoyens qui se lèvent contre l’injustice et les tueries doivent être protégés et honorés. Surtout pas être traités comme des malfrats alors que ceux qui tuent et pillent le pays circulent librement. Les 8 militants de la LuchaRDC à Beni doivent être libérés sans condition”. Condamnés à 10 ans de prison ferme à béni, le péché de ce 8 militants de la lucha est d’avoir revendiquer la justice pour tous, l’État de droit ainsi que la sécurité de personnes et de leurs biens dans la ville de Béni.
Israel NTUMBA ILUNGA./ https://journaldelapopulation.net/
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